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la Cagouille Enchaînée
19 février 2011

VAUCLUSE : UN COLLÉGIEN DEALER....DE SUCETTES !!


 

Pour dealer, il ni a pas d'âge. Nouvelles preuves aujourd'hui dans le Vaucluse, dans le village d'Entraigues sur la Sorgue, où un collégien indélicat, s'est fait pincer pour deal de sucettes.

Une information étonnante relayée par le quotiden "20Minutes" qui se fait l'écho de l'information.

"Oui", c'est un "simple" adolescent de 12 ans, qui serait à l'origine du délit scolaire, en ayant revendu tel un dealer professionnel des sucettes à ses camarades dans la cour de récréation. Des produits revendus la plupart du temps à prix coutant, et qui ont permis au jeune contrebandier de réaliser le profit faramineux de...28€. 28€ réalisés grâce à la vente de 4 boîtes de 36 sucettes.

C'est en observant le comportement anormal des élèves qui passaient beaucoup de temps à "mâchouiller" leur sucettes, que le personnel a été alerté. Un personnel du collège qui a agit directement en interne, sans pour autant prévenir les forces de l'ordre de ce trafic de sucettes au sein de l'établissement. Un "ouf" de soulagement pour le prévenu (l'élève) qui ne sera pas poursuivi pour revente illicite de bonbons.

Malgré cela, et après être passé aux aveux  (sous la contrainte) après l'interrogatoire de son CPE (Conseiller Principal d'Éducation), l'adolescent, encoure le conseil de discipline, "peine maximale" du système scolaire.

Prévenus par lettre recommandée, les parents (Boulanger de profession) de l'indélicat vendeur, "sourient" d'abord de la situation, avant de comprendre que leur bambin risque vraiment gros dans cette histoire. On ne rigole pas avec la loi, surtout avec la loi scolaire. En effet, le conseil de discipline, sorte de tribunal scolaire, à les moyens de marquer au fer rouge le dossier de l'enfant pour le reste de sa scolarité.
Se muant alors en avocat de fortune, les parents, ont pris le taureau par les cornes et alerter l'opinion public pour dénoncer cet excès d'autoritarisme de l'établissement scolaire. Point de groupe Facebook, ni de groupe de soutien pour le moment, mais la chôse en demeure malgré tout sérieuse.

Pour la mère de l'infortuné, la sanction est complétement disproportionnée. En effet, selon ses propres propos, "il ne vend pas du shit tout de même (...) Je n'accepterai pas que l'on ne mentionne pas qu'il s'agissait d'un commerce de sucettes (...) Je ne veux pas que cela le suive toute sa scolarité et que l'on pense qu'il a vendu de la drogue. Tout ceci est complètement disproportionné. Des heures de colle auraient suffi".

Espérons donc que "l'avocat maman" saura faire une plaidoierie de tout premier ordre face au juge du conseil, afin que l'avocat général de l'école de ne demande pas le renvoi de l'élève.

Une histoire rocambolesque donc, pour un total, il faut le rappeller de 28 €uros.

   LEPOST.fr   - Source 20Minutes / trafic de "couilles de mammouth" 

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