
Le gouvernement a affirmé, samedi 20 juin, qu’il entendait supprimer une disposition contestée, relevée par Le Monde dans son édition datée du 21-22 juin, introduite in extremis dans le projet de loi sur le renseignement. Celle-ci a été glissée dans le texte le 16 juin, par Jean-Jacques Urvoas, l’habile président de la commission des lois de l’Assemblée, en commission mixte paritaire, l’instance chargée d’harmoniser les versions du Sénat et de l’Assemblée, alors qu’elle n’avait été votée par aucune des deux Chambres et que...
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